Ment-on à nos enfants?

Il est commun de dire à fiston ou fillette « tu peux être ce que tu veux », « tu peux devenir ce que tu veux ».

Mais… et si on leur mentait en bout de ligne?

Tous n’ayant pas les mêmes goûts, les mêmes talents, les mêmes forces et faiblesses implique que tous ne peuvent pas être « ce qu’ils veulent » dans leur tête, vous ne trouvez pas?

Alors on les encourage à rêver d’être ce qu’en bout de ligne, ils ne pourront pas nécessairement devenir, n’ayant pas les habiletés pour poursuivre cette carrière? Déception assurée, et surtout: perte de confiance envers les adultes…

Pire encore: cela est désormais appliqué à la « théorie du genre » où un petit garçon qui se sent fille veut devenir une fille parce que papa et maman lui ont dit qu’il pouvait « être tout ce qu’il veut être »…

Les adeptes de la théorie du genre disent que les médicaments utilisés sont inoffensifs, mais d’autres médecins témoignent du contraire. Plusieurs jeunes ayant « transitionné » au début de leur adolescences témoignent aujourd’hui de leur regret de l’avoir fait car les traces demeurent et ils ne retrouvent pas complètement leur « genre assigné à la naissance » après avoir cessé les médicaments ou subi une ablation chirurgicale.

Pourrait-on se garder une petite gêne avec le développement des enfants, tant et aussi longtemps que des études sérieuses n’auront pas été faites à moyen et long terme sur l’innocuité des médicaments et des interventions chirurgicales?

Et si on cessait de mentir à nos enfants, pour plutôt les encourager à développer leurs talents bien à eux, leurs talents qui font qu’ils sont magnifiquement uniques?

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